Le temps revêt une dimension très importante dans nos vies individuelles et collectives.
Notre rapport au temps influence d'ailleurs le rapport que nous avons avec nous-même mais aussi notre relation à l’autre.
"Si seulement j’avais plus de temps à consacrer du temps pour ce(ux) que j'aime…", "Les journées/années filent !", "Le temps me paraît long", "C'était mieux avant"...
Entre urgence et patience, vitesse et lenteur, est il possible de (re)trouver une autre relation au temps ?
Pris dans les rythmes effrénés de nos vies, quel est le temps que nous offrons au monde, aux autres, à nous-même ?
Comment retrouver ce(s) temps de liberté, d’épanouissement et de créativité ?
Comment cultiver la lenteur dans la fièvre ambiante ? Y-a-t-il une place pour l'arrêt ?
Qu'est-ce que notre finitude nous apprend sur notre manière d'habiter le présent ?
Le temps existe-t-il comme une donnée objective ?
Notre manière de nous relier au temps a-t-elle un impact sur notre humeur et notre santé ?
Les peuples premiers (comme les indiens Kogis) ont-ils quelque chose à nous apprendre sur cette question ?
Y a-t-il des moments de notre existence particulièrement importants à soigner, ces fameux « temps dans le temps » de la vie ?
Tout au long de cette journée, nos différents intervenants porteront des regards croisés sur cette thématique du temps, en s'appuyant sur ce qu'ils ont étudié et qui les passionnent (astrophysique, psychologie, anthropologie, journalisme, sociologie,...) mais aussi sur leur vécu.
Comme chaque année, des moments de pratique ainsi que des respirations musicales sont au programme.
Tous les bénéfices de cette journée animée par Ilios Kotsou seront consacrés à des projets solidaires, en Belgique et dans des pays du Sud.
"Si seulement j’avais plus de temps à consacrer du temps pour ce(ux) que j'aime…", "Les journées/années filent !", "Le temps me paraît long", "C'était mieux avant"...